Le changement viendra de la Grèce… ou pas

La composition du nouveau gouvernement :

Vice-Premier ministre : Ioannis Dragasakis
Ministre des Finances : Yanis Varoufakis
Ministre des Affaires étrangères : Nikos Kotzias
Ministre de la Défense : Panos Kammenos
Ministre de l’Economie, infrastructures, marine marchande et tourisme : Georges Stathakis
Ministre de l’Intérieur et de la restructuration administrative : Nikos Voutsis
Ministre de la Restructuration de la production, de l’environnement et de l’energie : Panayotis Lafazanis
Ministre de la Culture, de l’éducation et de la religion : Aristides Baltas
Ministre de l’Emploi : Panos Skourletis
Ministre de la Santé et de la sécurité sociale: Panayotis Kouroublis
Ministre de la Justice : Nikos Paraskevopoulos
Ministre d’Etat pour la lutte contre la corruption : Panayotis Nikoloudis
Porte-parole du gouvernement : Gabriel Sakellaridis

un-ours-grognon

5 réflexions au sujet de « Le changement viendra de la Grèce… ou pas »

  1. Gaielle

    C’est vrai que ça fait bizarre, un ministère de la religion, accolé à l’éducation ou pas, d’ailleurs.
    Vraiment bizarre.

    J’avais pas fait gaffe qu’il n’y avait pas de femme, je ne connais pas les prénoms grecs ^^
    Les révolutionnaires sont rarement féministes, dans un premier temps.
    « Prions pour qu’ils ouvrent rapidement les yeux sur la place des femmes »

    Ok c’est bon, je déconne ! Pas taper !

    1. Christine

      Il y aura six femmes dans le gouvernement, dont au moins quatre ont des postes équivalents à ceux des ministres, même si elles n’en ont pas le titre. La tonitruante juriste et féministe convaincue Zoé Κonstantopoulou présidera elle le Parlement. C’est encore une première en Grèce. De ce poste elle aura la charge de discipliner les députés néonazis, habitués aux esclandres dans l’Hémicycle, et de mener à bien les diverses investigations parlementaires qui ne manqueront pas de se mettre en route relativement aux scandales du passé. C’est un pied de nez amusant après toutes les brimades que les députés machos de la droite lui avaient infligé ces dernières années (sans qu’elle ne se dégonfle bien entendu).
      Zoé Κonstantopoulou et Rena Dourou, déjà présidente de l’immense Région d’Attique, sont les deux femmes les plus puissantes de Syriza, à moins de quarante ans.

      Et puis sous-ministre, ça en jette

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